L’empreinte carbone d’un bien ou d’une activité correspond au volume de gaz à effet de serre lié à sa production : elle est exprimée en grammes de CO2. Il s’agit de la mesure la plus connue lorsqu’il s’agit d’évaluer l’impact des activités humaines, notamment industrielles, sur l’environnement.
Dans une démarche de politique de Responsabilité Sociétale des Entreprises, la limitation de l’empreinte carbone est essentielle aujourd’hui, et correspond à la norme ISO 14067. Pour les entreprises, cette démarche environnementale est un enjeu majeur de réduction des coûts et de communication. Elle est calculée d’après la production des biens et des services, mais aussi d’après la consommation interne des salariés sur le lieu de travail.
L’empreinte carbone de la consommation d’eau individuelle
On estime qu’une bouteille d’1,5 litre a une empreinte carbone allant de 44g en estimation basse jusqu’à 633g en estimation haute. La consommation d’eau potable est à ce titre un des domaines sur lequel il est possible d’agir de manière immédiate, au vu de son volume annuel, notamment au sein d’une entreprise.
Si un employé boit 1,5 litre par jour en moyenne, au bout d’un an, c’est plus de 300 litres consommés au sein des locaux de l’entreprise. Chaque année, seulement 60% des 9,3 milliards de bouteilles d’eau vendues en France sont recyclées.
De surcroît, presque 200 000 tonnes d’emballages plastiques sont fabriquées pour leur transport. Nous proposons pour lutter contre cela grâce à deux types de fontaines à eau, chacun répondant à une logique de réduction de l’empreinte carbone selon vos besoins.